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22/08/2018

_Erotic Universe_

Erotic Universe : Sexuality and Fantastic Literature : Donald PALUMBO (editor) : 1986 : Greenwood Press (série "Contributions to the Study of Science Fiction and Fantasy" #18) : ISBN-10 0-313-24101-5 (la fiche ISFDB du titre) : xviii+305 pages (y compris index et bibliographie) : coûtait 35.00 USD pour un hc avec jaquette non illustré qui peut se trouver d'occase.

angalis,1 étoile

Publié dans la longue série d'ouvrages de référence de Greenwood Press (qui atteindra la centaine de titres), cet ouvrage a pour objectif de se pencher sur l'intersection des études sur la sexulaité et de celles sur la littérature fantastique (au sens anglo-saxon, c'est à dire en VF SF + fantasy + fantastique + tous les trucs bizarres). Du fait de l'imagerie fortement sexuée utilisée par les premiers supports liés au genre (en gros les pulps), cette intersection a souvent été étudiée, même si, à l'époque, la réalité des textes était bien loin de ce qui était dessiné sur les couvertures. La SFF étant historiquement assez prude, certains auteurs ont aussi su se positionner comme des "spécialistes" du sexe (on pensera bien évidemment à Farmer), ce qui a contribué à alimenter les réflexions sur le sujet.

angalis,1 étoile

La structure de l'ouvrage est tout à fait classique pour un titre de cette série, puisqu'il s'agit d'un recueil d'essais de taille variable (de dix à trente pages) dûs à divers intervenants. Les quinze essais rassemblés sont ici divisés en quatre parties : "Theory" (4 essais de portée générale), "Themes" (5 essais sur des thèmes précis : les aliens, l'homosexualité...), "Feminist Views" (5 essais plus focalisés sur des oeuvres précises) et "Fanzines" (qui contient bizarrement 1 seul essai sur le phénomène des fanfictions K/S). En ce qui concerne les auteurs on trouve à parts égales des plumes connues (Palumbo, Barr, Landon...) et des auteurs qui n'ont été publiés que dans cet ouvrage (Spector, Veith, Frazer Lamb...). Une copieuse bibliographie primaire et secondaire annotée et un index clôturent l'ensemble.

angalis,1 étoile

La lecture de cet ouvrage commence plutôt mal, la première partie n'ayant qu'un rapport parfois lointain avec le sujet affiché du livre (Homère, les discriminations sexistes et non sexuelles...). Hélas, cela continue par la suite (le sexe et la mort dans la litgen) même si la partie thématique revient plus dans le sujet affiché de ce recueil en prenant enfin comme matière des oeuvres clairement SF&F (et non Le monde selon Garp), C'est sans doute la partie la plus "recherchée" avec de visibles efforts pour utiliser les ressources du genre. La troisième partie est complètement hors-sujet (toujours vis-à-vis de l'ambition affichée) puisqu'il s'agit de "Feminist Wiews" sur la SF en général en non d'une approche féminisite de la sexualité dans la SF&F . Du coup cette partie de l'ouvrage est encore une n-ième resucée du canon de la SF féministe des années 70 avec toutes ses figures imposées (Piercy, Russ, Tiptree, Le Guin), sa poignée d'ouvrages ressassés en boucle (et encore une visite guidée de Mattapoisett) et, chose toujours surprenante pour une frange qui prêche la diversité et la tolérance, ses procès en sorcellerie faits aux "fausses féministes" avec remise de bons points (Le Guin), mentions passables (McCaffrey) et mauvais points pour les traîtresses à la cause (ici c'est Janet E. Morris qui endosse ce rôle).

angalis,1 étoile

Les deux derniers essais (sur The Left Hand of Darkness et sur le K/S -les fanfictions homoérotiques sur le couple Kirk/Spock) sont d'honnête facture mais, franchement, ce sont des choses que l'on a pu déjà lire des milliers de fois tellement ces sujets étaient soit dans l'air du temps (comme Le Guin à l'époque) soit tellement originaux -au sens d'être propres à la SF&F- (le K/S) qu'ils fascinaient les universitaires en mal de copie. En parlant d'originalité, cet ouvrage innove (regrettablement) en proposant deux essais par Valerie Broege qui sont un remarquable exemple de préoccupation écologique avant l'heure puisque l'auteur y recycle plusieurs fois les mêmes phrases sur les mêmes sujets (j'ai dû vérifier tellement l'impression de déjà-lu était forte). C'est carrément se moquer du lecteur et cela en dit long sur la qualité de la relecture de l'ouvrage ou sur les exigences de Palumbo. Au final un ensemble non pas mauvais stricto sensu (bien ique manquant totalement d'originalité) mais juste une vaste tromperie sur la marchandise, comme cela arrive souvent chez Greenwood. Point d'étude sur "Sexuality and Fantastic Literature" mais un vague assemblage de textes.

angalis,1 étoile

Note GHOR : 1 étoile

20/08/2018

_Rave and Let Die_

Rave and Let Die : The SF & Fantasy of 2014 : Adam Roberts : 2015 : Steel Quill Books (#SQ003) : ISBN-13 978-1-907069-80-2 (la fiche ISFDB du titre) : 269 pages (pas d'index) : coûte 14.99 GBP pour un tp légèrement illustré (imprimé en POD), disponible chez l'éditeur (). anglais,roberts,1 étoile

Publié par une "filiale" de Newcon Press, un éditeur britannique indépendant (une sorte d'ActuSF local ^_^), cet ouvrage rassemble les critiques d'Adam Roberts sur les parutions SF&F de 2014. Il est inutile de présenter Adam Roberts aux lecteurs de ce blog, cet auteur britannique prolifique ayant aussi écrit de nombreux ouvrages de référence, y compris Sibilant Fricative chez le même éditeur, un livre qui est, comme celui-ci, un recueil de critiques (dont certaines semblent avoir été publiées alors que d'autres sont originales à ce volume). La seule différence est que Rave and Let Die ne se concentre que sur les sorties 2014 (que ce soient d'ailleurs des romans ou des films), cette concentration étant due au fait que Roberts a été juré pour deux prix littéraires cette année là.

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Après une longue (30 pages) introduction de Roberts qui donne un peu son ressenti sur l'état de la SF, l'ouvrage est constitué de 90 essais d'une longueur très variable, allant d'un seul mot "Interminablestellar" pour qualifier le film de Nolan à plusieurs pages pour le film The Hobbit de Jackson. Les essais eux-mêmes peuvent prendre des formes très différentes (on y trouve un poème, un script, un synopsis, une nécrologie de son ami Graham Joyce ou des dialogues) et peuvent partir dans à peu près n'importe quelle direction au gré des envies de Roberts. Le tout est par ordre alphabétique de nom d'auteur, ce qui fera remarquer l'absence d'index.

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On retrouve bien dans ce livre la verve et l'érudition de Roberts ainsi que son côté un peu touche-à-tout, passant de blockbusters du cinéma US à des recueil parus dans des small press en passant par des pièces de théâtre. Paradoxalement, c'est ce joyeux mélange qui, en ce qui me concerne, se trouve être préjudiciable à la lecture. A force de partir dans toutes les directions et d'adopter une structure protéiforme, le livre manque d'unité et demande sans doute une lecture par petits bouts pour profiter à chaque fois de la "surprise" qu'est chaque critique tant dans son sujet que dans sa forme.

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De plus, une partie des ouvrages évoqués par Roberts sont des titres et/ou des auteurs qui me sont complètement inconnus (sans doute ceux lus par l'auteur en tant que juré) et, au vu de ce qui en est écrit, risquent de le rester. Au final, une moins bonne lecture que le précedent opus de l'auteur qui n'a pas perdu de ses qualités de critique plutôt incisif mais qui balaye une sélection qui me "parle" beaucoup moins (c'est aussi dû au fait qu'il n'existe probablement pas 90 ouvrages suceptibles d em'intéresser parus en 2014) . Du coup, d'autres lecteurs aux gouts différents pourront avoir une impression plus positive de l'ensemble.

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Note GHOR : 1 étoile

15/08/2018

_The Work of Julian May_

The Work of Julian May : An Annotated Bibliography & Guide : Thaddeus DIKTY & R. REGINALD : 1985 : The Borgo Press (série "Bibliographies of modern authors" #3) : ISBN-10 0-89370-482-2 (la fiche ISFDB du titre) : 66 pages (y compris index) : coûtait 9.95USD pour un TP non illustré qui existe aussi en hc (-382-6).

angalis,1 étoile

Cette bibliographie fait partie de la collection "Bibliographies of modern authors" éditée par Borgo à la fin des années 80 et qui comptera une trentaine de titres dont une bonne moitié consacrée à des auteurs de SF parfois assez peu connus. Cet opus (l'un des premiers de la série) est donc consacré à Julian May, une autrice américaine qui est surtout connue par son ensemble "Galactic Milieu" (partiellement traduit chez nous chez Temps Futurs puis J'ai Lu) dans le domaine de la SF et par ses collaborations avec MZB (série "Trillium"). Sa principale activité a toutefois été l'écriture d'ouvrages de non-fiction (plus de deux cents !) sur à peu près tous les sujets, allant du Condor de Californie aux guerres indiennes en passant par les équipes de football (américain, bien sûr).

angalis,1 étoile

Cet ouvrage suit le canevas de la série et présente donc une succession de parties plus ou moins standardisées et de tailles inégales même si, en tant que l'un des premiers, l'habituelle partie biographique est omise. On trouve tout d'abord une introduction par Ted Dikty (à la fois le co-auteur de cet ouvrage et aussi Mr Julain May), puis la partie strictement bibliographie primaire groupée par types : livres (fiction et non-fiction mélangés, y compris les traductions), articles, nouvelles (2 en tout et pour tout) et ainsi de suite jusqu'au textes non publiés. Un index des titres clôture l'ouvrage, ce qui est heureux car il est le seul moyen de de localiser dans quelle section se trouve telle ou telle oeuvre de l'auteur.

angalis,1 étoile

Plus de trente ans après sa parution, il est clair que la pertinence et l'utilité de cet ouvrage ne sont plus les mêmes qu'à l'époque. De plus, au vu de la production plutôt limité de Julian May dans les genres de la SF et de la fantasy, ce livre ne pourra être que d'une utilité périphérique en complément d'un travail sur d'autres sources (en ligne puisqu'il n'existe pas d'autre étude sur l'autrice), ce qui n'enlève toutefois rien à la quantité de travail fournie.

angalis,1 étoile

Note GHOR : 1 étoile

12/08/2018

_Le guide de la SF et de la Fantasy_

Le guide de la SF et de la Fantasy : Karine GOBLED : 2017 : ActuSF (série "Les trois souhaits") : ISBN-13 978-2-36629-842-0 (la fiche ISFDB du titre) : 340 pages (pas d'index) : coûte 10€ pour un poche non illustré disponible chez l'éditeur ().

français,1 étoile

Cet ouvrage aux multiples titres (la couverture, la page de faux-titre et celle de titre étant toutes différentes) fait partie de la collection de guides publiés par les éditions ActuSF. Initialement "Petits guides à trimbaler" (de la Fantasy, de PKD...), ils se sont mutés en "Guide de" (l'uchronie, Howard...) au fil du temps. Ce dernier opus est écrit par Karine Gobled qui outre le fait d'être une blogeuse censément réputée (mais je dois avouer ne rien connaître à ce domaine) est aussi la co-autrice de cet ouvrage chez le même éditeur. A la fois guide de lecture et ouvrage de vulgarisation, en théorie cet ouvrage semble fédérer en seul volume consacré à tout l'imaginaire les divers guides existants chez ActuSF relatifs aux différentes composantes de ce nébuleux genre.

français,1 étoile

Après une courte introduction, l'ouvrage débute par une liste de sept "idées reçues" sur le genre et leur réfutation correspondante. Suivent plusieurs parties organisées (globalement) de façon similaire traitant d'un "genre" (au sens Gobledien du terme) : une présentation historique, une liste des sous-genres (s'ils existent) et douze titres "représentatifs" (ce qui semble vouloir dire soit "classiques", soit "récents", soit "que-Gobled-a-lus"). Sont donc abodrdés successivement : la science-fiction, la fantasy, le fantastique et ses monstres, le vampire, le zombie, le steampunk et l'uchronie, le tout sur des longueurs variables (les deux premiers chapitres étant logiquement les plus étoffés). On trouve ensuite plusieurs parties qui passent en revue les différents acteurs du (des) genre(s) : les éditeurs, les bibliothèques, les festivals et les prix ainsi que l'état de la réflexion sur ces genres. Le tout est ponctué d'interviews. On notera une courte bibliographie secondaire ("Pour aller plus loin") et l'absence d'index.

français,1 étoile

D'une façon générale, je n'ai absolument pas trouvé le moindre interêt à cet ouvrage qui est pourtant à destination "du néophyte au connaisseur". Cela commence par le gambit de la partie "réfutation des idées reçues", une stratégie défensive tellement utilisée dans ce type d'ouvrage qu'elle ressort plus du cliché éculé qu'autre chose, d'autant que l'on ne peut pas dire que Karine Gobled soit particulièrement originale et/ou inspirée ("Mais si, la SF c'est sérieux, la preuve : Roland Lehoucq un astrophysicien a calculé la taille de la planète Pandora"). On poursuit par le coeur de l'ouvrage à savoir la taxonomie de l'imaginaire qui vire vite au ridicule. En effet, il semble que "le zombie" (ou "le vampire") soit considéré par l'autrice comme un genre à part entière (ah bon !), à l'égal de genres aussi vastes que la science-fiction ou la fantasy (même si au final elle a logiquement peu à dire sur ces thèmes plutôt étroits). On peut aussi déduire de la classification de Gobled que si le Cyberpunk est bien une forme de la SF, le Steampunk est lui un genre à part. Ce genre de classement ressort plus d'une adhésion à la mode actuelle avec ses flots de zombies et une certaine percée de l'imagerie steampunk que d'une analyse structurée des genres. Outre cette structure fondamentalement bancale, on trouve aussi tout au long de l'ouvrage un certain nombre d'erreurs factuelles (par exemple Frank Herbert comme ayant débuté dans les pulps, le cycle de Pern comme de la fantasy) et surtout des phrases tellement peu précises ou un discours tellement peu construit que l'on peut y comprendre n'importe quoi (et surtout des bêtises). Par exemple, écrire que "Dans les années 1950 (...) Fleuve Noir Anticipation (...) se contente dans un premier temps de publier(...) des franchises comme la série Perry Rhodan" est juste soit complètement faux (1966 pour la parution originale de Opération Astrée), soit extrêmement mal exprimé, soit insuffisament précis. L'ensemble est l'avenant avec un niveau d'approximation (dans le discours lui-même ou dans les détails) et un manque de structuration qui rend la lecture de l'ensemble passablement énervante pour qui possède un minimum de connaissance sur le genre.

français,1 étoile

Outre ce manque de rigueur et de recherche, il se dégage de l'ensemble (comme souvent dans les publications de cet éditeur) un vague parfum de copinage qui pourrait agresser des narines sensibles. Cela va du choix des oeuvres représentatives (comme celle d'Eric Holstein qui se trouve travailler chez ActuSF), à la surreprésentation de certains éditeurs (Mnémos c'est visiblement vraiment bien au vu du nombre de titres qu'ils placent dans les ouvrages conseillés par l'auteur) en passant par l'autopromotion (on a droit de l'ActuSF à toutes les sauces : éditeur, site, webzine, forum, organisateur de prix...). On a le sentiment de toujours retrouver les mêmes personnes dans leurs différents rôles (auteurs, essayistes, organisateurs, influenceurs), un petit groupe de Happy-Few qui se retrouvent dans les mêmes festivals et qui partagent les mêmes valeurs. Pour schématiser à l'extrême on a là une vitrine du "pôle" ActuSF (Holstein, Berrouka, Awlett...) distincte de la "faction" Bélial'/exCC et des "commerciaux" de Bragelonne. On passera aussi sur l'interminable liste d'éditeurs dont l'intérêt est plus que limité pour un lecteur lambda (publicité gratuite ?) ou sur les listes de sites (dont certains sont soit disparus soit en sommeil plus ou moins profond) ou de blogs (avec leur nombre d'abonnés qui est bien précisé, certains atteignant les deux cents, c'est dire leur importance).

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Au final un livre mal pensé, mal réalisé mais super sympa avec les copains qui ne peut offrir qu'une vue partiale et partielle des genres concernés. A éviter.

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Note GHOR : 1 étoile (par gentillesse) 

02/09/2016

_Alliage 60 : Science-fiction_

Alliage 60 : Science-fiction : Roselyne CHAUMONT (directrice de la rédaction) : 2007 : Association ANAIS : pas d'ISBN, ISSN 1144-5645 (la fiche ISFDB du titre) : 197 pages : coûtait 18€ pour une revue format digest illustrée en couleur et n&b.

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Cet ouvrage est le numéro "Science-fiction" de la revue Alliage. Cette revue "savante" (d'après leurs biographies les auteurs sont en général des professeurs de philosophie dans l'enseignement supérieur) dont la devise semble être "Culture - Science- Technique" est un de ces périodiques comme il en existe pas mal, émanation d'une structure associative généralement adossée à un établissement public (ici l'IUFM de Nice) qui publie un certain nombre de numéros thématiques (on pensera par exemple à la revue de la BNF). celui-ci est donc consacré à la science-fiction, une idée qui germe régulièrement dans les comités de rédaction avec le plus souvent des résultats assez navrants (comme celui cité plus haut et cet autre exemple gratiné).

français,1 étoile

On est ici dans le cas de figure classique à savoir que les essais présentés se divisent en trois catégories : 1) je connais la SF et je suis capable d'en parler de façon structurée et étayée même si mon sujet est un peu "bateau" (Lagoguey sur PKD, le cyborg comme noir dans la SF, les robots d'Asimov); 2) je n'y connais pas grand chose (j'ai quand même vu Star Wars et les films de PKD) mais je veux bien essayer de me souvenir de tel ouvrage de référence que j'ai lu et le paraphraser (ici c'est Jameson qui sert d’inspirateur et qui est d'ailleurs présent au sommaire avec un extrait de Archeologies of the Future); et 3) je n'y connais rien à la SF mais par contre je connais bien Deleuze, Derrida, Duchamp, Ricoeur (insérez ici votre sujet de thèse), mais en mettant science-fiction dans le titre et des couvertures de livres de SF comme illustrations, cela devrait pouvoir passer.

français,1 étoile

Malgré tout, il faut bien avouer que le résultat n'est pas aussi mauvais que l'on pouvait s'y attendre (même si certains essais sont complètement hors-sujet et même franchement illisibles). Il est juste dommage que la science-fiction semble être considérée comme un genre sans doute si simple que n'importe quel doctorant peut écrire à son sujet. Les résultats montrent que ce n'est hélas pas généralement le cas et qu'il est rare qu'un néophyte es-SF arrive à se sortir honorablement de l'exercice autrement qu'en changeant de sujet.

français,1 étoile

Note GHOR : 1 étoile